L’utilisation de la fermentation remonte à la sédentarisation!
Déjà dans l’Antiquité préchrétienne, on fermentait du lait, des fruits, des légumes, des haricots, des viandes, des céréales… La fermentation augmente considérablement la conservation des aliments et change le goût de ceux-ci leur offrant une autre dimension tout en la rendant plus digeste grâce aux probiotiques qui s’y développent. Partout dans le monde, on retrouve des classiques ancestraux fermentés tels que la choucroute, le kéfir, le Lassi, le yogourt, les salamis et bien plus!
Les probiotiques ont depuis longtemps prouvé leur efficacité dans le traitement de plusieurs problèmes de santé.
Il est toutefois essentiel de comprendre une chose : les probiotiques de synthèses et les probiotiques naturels n’ont pas le même impact dans le corps. On trouve sur le commerce un nombre impressionnant de produits sous différentes formes et appellation, végan, sans ceci ou sans cela. Malheureusement, ces produits ne sont soumis à aucun contrôle de qualité ou de vérifications approfondies par Santé Canada. Le dosage est souvent trop faible ou encore trop fort, parfois la diversité offerte n’est pas intéressante pour le cas de notre enfant.
L’option des probiotiques naturels est généralement plus abordable (car les probiotiques de bonne qualité coûtent cher), plus sécuritaire pour les enfants allergiques et mieux tolérées par le système digestif. Une chose est toutefois primordiale : l’introduction progressive! Que ce soit pour un probiotique de synthèse ou un probiotique naturel, il est normal de voir un «die off». Qu’est qu’un «die off»? Une réaction dite de «détox». Pourquoi? Quand on introduit un probiotique dans le système digestif, ces nouvelles bactéries iront d’abord détruire les pathogènes et éléments perturbateurs de notre flore intestinale. En mourant, ces éléments dégagent des toxines qui vont créer des effets semblables à celles que l’on veut justement enrayer : fatigue, maux de tête, nausée, urticaire, eczéma, selles abondantes, liquides et muqueuses ou au contraire constipation.
En introduisant le probiotique progressivement, on limite les répercutions est toutefois essentiel de comprendre une chose : les probiotiques de synthèses et les probiotiques naturels n’ont pas le même impact dans le corps. On trouve sur le commerce un nombre impressionnant de produits sous différentes formes et appellation, végan, sans ceci ou sans cela. Malheureusement, ces produits ne sont soumis à aucun contrôle de qualité ou de vérifications approfondies par Santé Canada. Le dosage est souvent trop faible ou encore trop fort, parfois la diversité offerte n’est pas intéressante pour le cas de notre enfant.ions négative due à ce ménage et on peut ainsi plus facilement trouver LA dose dont l’enfant a réellement besoin, car ce n’est pas vrai que tout le monde a besoin de la même dose pour obtenir un effet thérapeutique! On commence doucement et on augmente la dose tous les 10 jours environ. Si tu utilises la recette ici, tu peux commencer à 1 ml pour les bébés de moins de 6 à 12 mois. Pour les enfants de plus de 12 mois, tu peux commencer à 2,5 ml. On double la dose chaque 10 jours.
Ingrédients
- 1/2 tasse de légumes râpés au choix
(chou = vitamine C, Ail = puissant antifongique, les autres légumes sont surtout question de goût et de couleur. Les concombres sont doux, la betterave donne un jus rouge, la carotte donne un jus légèrement sucré, etc. )
- 2 c. thé de sel
- 800 ml d’eau de source (pas de l’eau déminéralisée simplement de l’eau propre 😉 )
- 1 pot Mason de 1 litre bien propre
Préparation
- On dépose le sel et les légumes dans le pot mason et on mélange en pressant légèrement le mélange au fond du contenant.
- Viser le couvercle sans serrer, couvrir d’un linge et laisser 6 heures sur le comptoir.
- Ajouter l’eau jusqu’à environ 1 pouce 1/2 du goulot (entre 700 et 800ml), refermer sans serrer.
- Couvrir d’un linge et mettre dans une armoire (ici c’est le dessous de l’évier que se trouve le spot à fermentation 😛 )et on laisse fermenter 10 jours.
- Chaque jour, prendre le pot et l’inspecter afin de s’assurer de l’absence de moisissures. Une fois fait, on dessert complètement le couvercle sans le retirer (simplement faire sortir la pression), on remue légèrement et on remet sous le comptoir.
Ajouter le jus dans les soupes (après cuisson avant de manger afin de ne pas tuer les bonnes bactéries avec la cuisson 😉 ), les ragoûts, dans une vinaigrette ou pour assaisonner des légumes. On commence progressivement, c’est cela le plus important! Les légumes peuvent également être dégustés, mais là encore, il faut les introduire doucement eux aussi, car leur concentration en probiotique sera supérieure à celle du jus.
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